Aujourd'hui, après quelques recherches, nous avons créer l'hypothèse:
SLGABRIEL
martes, 1 de abril de 2014
martes, 18 de marzo de 2014
Aujourd'hui nous nous sommes concentrés sur le rédaction de l'introduction:
INTRODUCTION:
Nous allons vous présenter les effets nocifs de la
cosmétique sur la santé humaine. Nous allons vous le montrer à travers d’un
power point qui comportera des expériences qui vont retransmettre ces effets
grâce aux plantes utilisées. Ensuite, des explications vous seront données pour
compléter les expériences en traitant l’aspect scientifique et sociologique de
notre thème. Après l’information trouvée et les recherches réalisées nous avons
aboutis sur ces problématiques:
-Est-ce que les
produits cosmétiques sont tous fiables?
-Les gens sont-ils conscient de ces effets?
-Que peut-on faire pour éviter la comercialisation de ces
produits?
viernes, 14 de marzo de 2014
Actualmente en clase tenemos que preparar una especie de TPE para
así entrenarnos para el TPE oficial del año que viene. Mi grupo esta compuesto
por Ester y Maria.
En las últimas clases, hemos decidido centrar nuestro proyecto en
un tema concreto; los peligros de la cosmética en la salud de los humanos. Para
ello, vamos a hacer unos experimentos con semillas. En cada uno de los
experimentos, vamos a añadir agua y alguna substancia cosmética como por
ejemplo, laca, pinta uñas o colonia.
viernes, 22 de noviembre de 2013
Ici je présente le travail de recherche final avec toutes les informations sur le thème exposé:
INTRODUCTION
L’effet des catastrophes naturelles sur l’écosystème
Comment le réchauffement climatique va contribuer à la création de
cyclones?
Quels sont les effets des catastrophes naturelles sur
l’écosystème?
Causes
formation cyclones
Les manifestations et les
conséquences d’un ouragan
Les manifestations
Vents extrêmement violents
La grande puissance des vents et le changement
soudain de leurs directions sont les responsables que l’énergie libérée par un
ouragan (qui se mesure en joules) puisse atteindre jusqu’à 6.1019 joules par
jour, qui est transformée en chaleur.
D’après des études scientifiques, on dit que
l’énergie libérée est proportionelle au carré de la vitesse du vent.
L’énergie maximale dégagée par un ouragan peut
arriver à être aussi puissante que cinq bombes nucléaires (comme Hiroshima) par
seconde.
La pluie
La pluie est souvent une
des principales manifestations des ouragans. Celle-ci peut varier celon la
lenteur de l’ouragan et par le relief terrestre.
Comme dans le cas du
Katrina, la pluie provoque des glissements de terrain et surtout des
inondations, ce qui a comme conséquences la modification d’un espace, des
dégâts matériels mais surtout beaucoup de victimes.
Mer agitée
La mer souffre un changement colossal à cause
de la force de l’eau, et beaucoup d’animaux marins meurent car l’ouragan les
trasporte sur terre.
Les causes
La figure ci-dessus montre comment cyclones se forment . Les flèches
vertes indiquent où l'air chaud monte. Les flèches rouges indiquent les
endroits où l'air froid est en train de couler .
• Les cyclones tropicaux se forment uniquement sur les eaux chaudes de
l'océan près de l'équateur.
• Pour former un cyclone, l'air chaud et humide sur l'océan monte vers le
haut près de la surface . Comme cet air se déplace vers le haut et loin de la
surface de l'océan , il laisse l'air est inférieure à proximité de la surface .
Donc, fondamentalement, que l'air chaud monte , il provoque une zone de basse
pression d'air ci-dessous.
• Air de ses environs avec une pression d'air plus élevée pousse dans la
zone de basse pression . Ensuite, cette nouvelle air «cool» devient chaud et humide s'élève et ,
aussi. Et le cycle continue ...
• Comme l' , air chaud
humide s'élève et se refroidit l' eau dans l'air forme des nuages . L'ensemble du système
des nuages et des tours d'éoliennes et développe, alimenté par la chaleur et
l'eau de l'océan s'évapore de la surface de l'océan .
• Le système de tempête tourne plus vite, il se forme de l'œil au centre.
Il est très calme et clair dans
les yeux, avec une pression d'air très faible. Air à haute pression
d'en haut descend dans l'œil.
Lorsque les vents de la tempête de rotation atteint 39 mph (63 kmph ) ,
la tempête est appelé une «tempête tropicale» . Et quand la vitesse du vent atteint 74 mph (119 kmph ) , la tempête est
officiellement un " cyclone tropical" ou un ouragan . Les cyclones
tropicaux affaiblissent généralement quand ils frappent la terre, parce qu'ils
ne sont plus d'être «alimenté» par l'énergie des eaux chaudes de l'océan.
Cependant , ils se déplacent souvent loin dans les terres , le dumping
plusieurs centimètres de pluie et causant beaucoup de dégâts du vent avant de
mourir complètement.
Phrase de transition:Du au
réchauffement climatique, la température des océans augmente
progressivement au fil des années. Ceci n’est pas un changement naturel mais
une conséquence en partie causée par les activités humaines (ex: l’extraction
de pétrole dans les mers).
Les
conséquences générales
-
Au niveau humain:
Chaque année meurent, en moyenne, 6000 personnes à cause des
cyclones, sans compter les personnes blessés ou les sans abris.
Mais toutes les morts ne sont pas simplements causées par le
cyclone lui-même, par les effets qu’il provoque, comme des glissements et des
noyades, ou les rafales de vents.
- Au niveau économique :
Les ouragans affectent principalement
les infrastructures, les bâtiments d’habitation, mais aussi affecte les réseuax
d’eau douce (qui parfois peut causer aussi la manque d’eau potable et après la
mort de beaucoup de personnes), l’électricité et le téléphone.
- Au niveau environnemental :
Les conséquences les plus fréquentes ce
sont: dégâts en fôret, animaux et plantes morts, pollution grave du littoral,
mais surtout des inondations.
Les conséquences de l’ouragan KATRINA (image
1)
Le 29 août 2005, le Katrina, qui est prédit par les météorologues, provoque
des graves conséquences sur la ville de Nouvelle-Orléans, dans les côtes de
Louisiana, des États-Unis.
Les conséquences sont visibles et graves:inodation de la ville (80% ville
inondée), déplacements d’individus vers un autre milieu de vie.
Le lien entre les cyclones et
le réchauffement climatique
26
septembre 2005 ; révision : 08 novembre 2005,
cyclone
Katrina le 29/08/2005
crédit : GOES Project Science Office
crédit : GOES Project Science Office
Au lendemain du passage des cyclones de force 5 Katrina et
Rita dans le Golfe du Mexique, la communauté scientifique s'interroge sur le
lien entre l'occurrence et la violence des cyclones tropicaux et le
réchauffement climatique.
Autant de cyclones mais plus violents
D'après une étude publiée mi-septembre dans la revue
Science par des chercheurs américains de l'Institut de technologie de Georgie
et du Centre national de recherche atmosphérique, basé à Boulder (Colorado), le nombre et la durée
des cyclones est globalement stables depuis 35 ans à l'échelle planétaire.
Cependant, le nombre et la proportion d'ouragans de catégories 4 et 5 (le maximum sur l'échelle Saffir-Simpson qui fait référence) ont presque doublé depuis 1970.
Ce phénomène a été constaté notamment dans le Pacifique Nord, le Pacifique Sud-Ouest et l'océan Indien.
Curieusement, l'Atlantique Nord fait figure d'exception puisque le nombre de cyclones a nettement augmenté depuis 1995 selon le National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Par exemple, en 2004, la Floride a essuyé sa pire saison depuis 118 ans avec 15 ouragans dont 6 majeurs (force de 3 à 5). Et en 2005, trois cyclones de force 5 (Katrina, Rita et le plus puissant Wilma) ont touché le Golfe du Mexique en quelques semaines...
A ce titre, le directeur du Centre national des ouragans, Max Mayfield a estimé le 25 septembre sur la chaîne CBS que "la haute saison des cyclones dure jusque mi ou fin octobre (...) Non seulement nous aurons d'autres tempêtes et cyclones, mais nous pourrions aussi avoir un ou deux cyclones majeurs". Les Etats-Unis ont subi cette année 17 tempêtes ou cyclones.
"Aussi bien cette année que l'an dernier, ce n'est pas le nombre important de cyclones qui me frappe, mais le fait que trois ou quatre d'entre eux aient touché terre", a commenté Max Mayfield qui a affirmé devant une commission sénatoriale que l'accroissement de l'activité cyclonique était lié à un cycle naturel qui revient tous les 25 à 40 ans dans l'Atlantique, et a rejeté tout lien avec le réchauffement climatique. Il a précisé que l'Atlantique avait déjà connu une recrudescence de l'activité cyclonique qui a commencé dans les années 1940 et a pris fin dans les années 1960. Il estime que le même phénomène est en train de se reproduire.
Dans l'Atlantique Nord, le nombre et la proportion de cyclones de niveau supérieur à 4 a moins augmenté que dans les autres régions cycloniques du globe, contrairement à ce que l'actualité pourrait nous faire croire...
Cependant, le nombre et la proportion d'ouragans de catégories 4 et 5 (le maximum sur l'échelle Saffir-Simpson qui fait référence) ont presque doublé depuis 1970.
Ce phénomène a été constaté notamment dans le Pacifique Nord, le Pacifique Sud-Ouest et l'océan Indien.
Curieusement, l'Atlantique Nord fait figure d'exception puisque le nombre de cyclones a nettement augmenté depuis 1995 selon le National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA). Par exemple, en 2004, la Floride a essuyé sa pire saison depuis 118 ans avec 15 ouragans dont 6 majeurs (force de 3 à 5). Et en 2005, trois cyclones de force 5 (Katrina, Rita et le plus puissant Wilma) ont touché le Golfe du Mexique en quelques semaines...
A ce titre, le directeur du Centre national des ouragans, Max Mayfield a estimé le 25 septembre sur la chaîne CBS que "la haute saison des cyclones dure jusque mi ou fin octobre (...) Non seulement nous aurons d'autres tempêtes et cyclones, mais nous pourrions aussi avoir un ou deux cyclones majeurs". Les Etats-Unis ont subi cette année 17 tempêtes ou cyclones.
"Aussi bien cette année que l'an dernier, ce n'est pas le nombre important de cyclones qui me frappe, mais le fait que trois ou quatre d'entre eux aient touché terre", a commenté Max Mayfield qui a affirmé devant une commission sénatoriale que l'accroissement de l'activité cyclonique était lié à un cycle naturel qui revient tous les 25 à 40 ans dans l'Atlantique, et a rejeté tout lien avec le réchauffement climatique. Il a précisé que l'Atlantique avait déjà connu une recrudescence de l'activité cyclonique qui a commencé dans les années 1940 et a pris fin dans les années 1960. Il estime que le même phénomène est en train de se reproduire.
Dans l'Atlantique Nord, le nombre et la proportion de cyclones de niveau supérieur à 4 a moins augmenté que dans les autres régions cycloniques du globe, contrairement à ce que l'actualité pourrait nous faire croire...
Le réchauffement climatique pourrait jouer dans la formation des
cyclones
"Notre compréhension actuelle de la dynamique des
cyclones tend à indiquer une relation possible entre l'activité cyclonique et
l'élévation de la température à la surface des océans", explique Peter
Webster, l'un des auteurs de cette étude.
Le réchauffement de la Terre induit par les activités humaines qui rejettent massivement des gaz à effet de serre entraîne une hausse moyenne des températures à l'échelle planétaire. Ainsi, la température dans les zones tropicales des cinq bassins océaniques, où se forment les cyclones, a augmenté de 0,5 degré Celsius de 1970 à 2004. Or, l'une des conditions indispensable à la formation d'un cyclone est la température des eaux de surface qui doivent être d'au moins 26,5°C sur au moins 60 m de profondeur.
Il semble donc logique que nos émissions de gaz à effet de serre puissent jouer un rôle dans la multiplication et la violence des cyclones. En effet, la fréquence, l'intensité et la durée des phénomènes extrêmes (canicules, inondations, sécheresses...) seront accentuées dans le changement climatique en cours.
Dans une interview donnée par l'Internaute, Michel Desbois, directeur de recherche au laboratoire de météorologie du CNRS-Polytechnique confirme que la formation des cyclones est favorisée dans les régions tropicales où l'on observe une anomalie positive de température comme c'est le cas dans la région de Cuba où la température a augmenté d'un degré.
M. Desbois indique également "qu'avec le réchauffement de la planète ce n'est pas le nombre de cyclones qui augmente, mais leur puissance (...) Mais il est encore difficile d'évaluer l'impact réel de ce réchauffement car la force et le nombre des cyclones oscillent naturellement tous les 20-30 ans."
Hervé Le Treut, directeur de recherches au CNRS indiquait le 1er septembre à l'Agence France Presse que l'apparition de cyclones comme Katrina pourrait bien être la conséquence du réchauffement de la planète. On pourrait également s'attendre à une multiplication de leur nombre, ainsi qu'un changement de leur intensité et de leur trajectoire.
Selon le climatologue Kerry Emmanuel, qui a publié une étude en août dans la revue « Nature », les cyclones qui frappent l'Atlantique et le Pacifique se sont aggravés, à la fois en durée et en intensité, d'environ 50% depuis les années 1970. Pour autant, il se garde bien de lier cette tendance au réchauffement de la planète, notamment parce que la série est bien trop courte pour pouvoir généraliser.
Le réchauffement de la Terre induit par les activités humaines qui rejettent massivement des gaz à effet de serre entraîne une hausse moyenne des températures à l'échelle planétaire. Ainsi, la température dans les zones tropicales des cinq bassins océaniques, où se forment les cyclones, a augmenté de 0,5 degré Celsius de 1970 à 2004. Or, l'une des conditions indispensable à la formation d'un cyclone est la température des eaux de surface qui doivent être d'au moins 26,5°C sur au moins 60 m de profondeur.
Il semble donc logique que nos émissions de gaz à effet de serre puissent jouer un rôle dans la multiplication et la violence des cyclones. En effet, la fréquence, l'intensité et la durée des phénomènes extrêmes (canicules, inondations, sécheresses...) seront accentuées dans le changement climatique en cours.
Dans une interview donnée par l'Internaute, Michel Desbois, directeur de recherche au laboratoire de météorologie du CNRS-Polytechnique confirme que la formation des cyclones est favorisée dans les régions tropicales où l'on observe une anomalie positive de température comme c'est le cas dans la région de Cuba où la température a augmenté d'un degré.
M. Desbois indique également "qu'avec le réchauffement de la planète ce n'est pas le nombre de cyclones qui augmente, mais leur puissance (...) Mais il est encore difficile d'évaluer l'impact réel de ce réchauffement car la force et le nombre des cyclones oscillent naturellement tous les 20-30 ans."
Hervé Le Treut, directeur de recherches au CNRS indiquait le 1er septembre à l'Agence France Presse que l'apparition de cyclones comme Katrina pourrait bien être la conséquence du réchauffement de la planète. On pourrait également s'attendre à une multiplication de leur nombre, ainsi qu'un changement de leur intensité et de leur trajectoire.
Selon le climatologue Kerry Emmanuel, qui a publié une étude en août dans la revue « Nature », les cyclones qui frappent l'Atlantique et le Pacifique se sont aggravés, à la fois en durée et en intensité, d'environ 50% depuis les années 1970. Pour autant, il se garde bien de lier cette tendance au réchauffement de la planète, notamment parce que la série est bien trop courte pour pouvoir généraliser.
Des données à prendre avec précaution et à
nuancer
Cependant, pour Marcel Leroux, climatologue CNRS à
l'université Lyon 3 et auteur d'un ouvrage critique sur le changement
climatique (1), «les auteurs démontrent une relation statistique sans lien avec
la réalité physique. On n'a jamais démontré que l'activité des cyclones est
fonction de la température de l'eau de surface. Il s'agit d'un vieux serpent de
mer lancé par des océanographes et repris par des modélisateurs pour son côté
pratique dans les calculs.»
Des données effectivement reprises par la quasi totalité des scientifiques et qui nous laissent sceptiques sur les affirmations de M.Leroux...
De plus, les simulations des modèles sont contradictoires, certaines concluant par exemple à une diminution à l'horizon 2020 du nombre total de cyclones, actuellement d'environ 90 par an dans le monde.
Les auteurs de l'étude(1) restent cependant prudents. D'autres facteurs comme le courant marin El Nino ou l'humidité de l'air jouent aussi un rôle important dans l'intensité des tempêtes tropicales. Or, de par sa complexité, le cycle atmosphérique de l'eau (nuages, précipitations...) est un phénomène extrêmement difficile à modéliser.
De plus, «Attribuer l'intensification de la violence des cyclones au cours des trente dernières années au réchauffement atmosphérique nécessiterait de disposer de données globales sur une période plus longue et d'avoir aussi une meilleure compréhension du rôle des cyclones dans la circulation atmosphérique et océanique, même dans les conditions climatiques actuelles», concluent les auteurs de cette étude.
Une nouvelle fois, nous nous heurtons à un historique trop court et à une complexité qui font qu'il est très difficile de se prononcer avec certitude. Pour autant, ce n'est certainement pas une raison pour continuer de jouer aux apprentis sorciers avec le climat de la Terre dont l'incroyable stabilité est le garant de la survie de nos sociétés.
Des données effectivement reprises par la quasi totalité des scientifiques et qui nous laissent sceptiques sur les affirmations de M.Leroux...
De plus, les simulations des modèles sont contradictoires, certaines concluant par exemple à une diminution à l'horizon 2020 du nombre total de cyclones, actuellement d'environ 90 par an dans le monde.
Les auteurs de l'étude(1) restent cependant prudents. D'autres facteurs comme le courant marin El Nino ou l'humidité de l'air jouent aussi un rôle important dans l'intensité des tempêtes tropicales. Or, de par sa complexité, le cycle atmosphérique de l'eau (nuages, précipitations...) est un phénomène extrêmement difficile à modéliser.
De plus, «Attribuer l'intensification de la violence des cyclones au cours des trente dernières années au réchauffement atmosphérique nécessiterait de disposer de données globales sur une période plus longue et d'avoir aussi une meilleure compréhension du rôle des cyclones dans la circulation atmosphérique et océanique, même dans les conditions climatiques actuelles», concluent les auteurs de cette étude.
Une nouvelle fois, nous nous heurtons à un historique trop court et à une complexité qui font qu'il est très difficile de se prononcer avec certitude. Pour autant, ce n'est certainement pas une raison pour continuer de jouer aux apprentis sorciers avec le climat de la Terre dont l'incroyable stabilité est le garant de la survie de nos sociétés.
La fréquence et l'intensité des
ouragans augmentent-elles en raison des changements climatiques induits
par l'homme ?
Comme toujours avec la science du climat, la réponse
n'est pas réellement résolue. Mais beaucoup de chercheurs estiment
que la quantité d’ouragans augmentera à mesure que la planète se réchauffe.
Un fait est bel et bien établi : le nombre de cyclones reste
stable tandis que leur puissance globale augmente depuis un demi siècle. Ainsi,
une étude publiée en août 2005 dans la revue Nature montrait-elle, en se
basant sur les enregistrements des vitesses maximales des vents, que
l'énergie totale dissipée par les ouragans de l'Atlantique Nord et du Pacifique
Ouest avait augmenté de 70 % depuis 30 ans.
Dans la foulée, une autre étude, publiée cette fois dans Science en septembre 2005, confirmait ces résultats : le nombre
d'ouragans de catégorie 4 ou 5 a augmenté de 57 % entre 1970 et 2004. En
proportion, sur l'ensemble des cyclones, ceux de force majeure sont ainsi
passés de 20 % à 35 % en 30 ans.
CAUSE: Alors, comment expliquer cette hausse de
leur intensité ? C'est là que les avis divergent. Pour l'auteur de la
publication dans Nature,
Kerry Emanuel, professeur de sciences atmosphériques à l'Institut de
technologie du Massachusetts, la raison est à chercher du côté des températures
de l'eau. Le météorologue a ainsi prouvé que les courbes d'évolution
de la puissance des ouragans, d'une part, et celles de la température à la
surface des océans, d'autre part, évoluaient de façon très similaire, toutes
deux à la hausse. L'océan, qui se réchauffe depuis plusieurs décennies,
renforcerait donc la puissance des ouragans, ce qui semble se vérifier avec
Irene, survenu à une période où les températures dans l'Atlantique sont
supérieures à la moyenne pour cette période de l'année.
CAUSE: ºL'augmentation de l'intensité des ouragans se voit par ailleurs
renforcée par un autre effet du changement climatique : la montée du niveau des
eaux. Vingt centimètres de plus, en moyenne, dus aux émissions de gaz à effet
de serre, fragilisent encore davantage les parties du littoral au niveau de la
mer face aux tempêtes qui peuvent accompagner de puissants cyclones.
Mais pour d'autres experts, tels que Thomas Knutson, chercheur au
laboratoire de dynamique des fluides géophysiques de Princeton, la hausse
de la fréquence des cyclones de force 4 ou 5 observée ces dernières
décennies s'est produite sur une trop courte période pour en déduire une
tendance sur le long terme. Elle pourrait ainsi tout simplement résulter de la
variabilité naturelle du climat, sans aucun lien avec le réchauffement. Car si
la température constitue un des éléments essentiels dans la formation des
cyclones, d'autres facteurs jouent un rôle extrêmement important, comme le
cisaillement vertical des vents, c'est-à-dire une différence dans la vitesse et
la direction des vents entre deux altitudes qui empêche, si elle est forte, la formation des ouragans.
Une fois ces précautions prises, Knutson estime néanmoins, dans un
papier signé l'an dernier dans Nature avec Emanuel et huit autres
scientifiques, que le réchauffement climatique dû aux gaz à effet de serre
débouchera sur l'augmentation de la fréquence des ouragans les plus forts.
Selon des modèles dynamiques que ces experts ont élaborés, l'intensité globale
des tempêtes devrait s'accroître de 2 à 11 % d'ici 2100. Soit des chiffres
inférieurs aux tendances des 30 dernières années établies par les publications
citées plus haut. Mais cette fois, la position fait davantage consensus au sein
de la communauté scientifique.
Image IPCC mers :
explication :
Oui, il ya des preuves
solides que le niveau global de la mer a augmenté graduellement au 20ème siècle
et est actuellement à la hausse à un rythme accéléré , après une période de
faible variation entre 0 et 1900 AD . Il est prévu que le niveau de la mer de
montée à un rythme plus dans ce siècle. Les deux principales causes de la
hausse mondiale du niveau de la mer sont la dilatation thermique des océans (
l'eau se dilate lorsqu'il est chauffé ) et la perte de glace des terres due à
l'augmentation de fusion .
Le niveau de la mer a
augmenté d'environ 120 m au cours de l' plusieurs millénaires qui ont suivi la
fin de la dernière période glaciaire ( il ya environ 21.000 années ) , et s'est
stabilisé entre il ya 3000 et 2000 ans. Les indicateurs du niveau des mers
suggèrent que le niveau global de la mer n'a pas changé de manière
significative à partir de là jusqu'au 19ème siècle . L'enregistrement
instrumental moderne le changement de niveau de la mer montre des signes
d'apparition de l'élévation du niveau de la mer au cours du 19e siècle . Les
estimations pour le spectacle du 20e siècle que le niveau moyen de la mer a
augmenté à un taux d'environ 1,7 mm an-1 .
Les observations
satellitaires disponibles depuis le début des années 1990 fournies niveau de la
mer plus précise des données avec une couverture quasi mondiale. Les données
altimétriques de cette décennie - longue série de satellites montrent que
depuis 1993, niveau de la mer a augmenté à un rythme d'environ 3 mm an-1 , soit
nettement plus que la moyenne au cours de la demi-siècle précédent . Mesures
des marégraphes côtiers confirment cette observation, et indiquent que des taux
similaires ont eu lieu dans certaines décennies précédentes.
Selon les modèles
climatiques , les données satellitaires et des observations hydrographiques
montrent que le niveau de la mer n'augmente pas de manière uniforme dans le
monde entier . Dans certaines régions , les taux sont jusqu'à plusieurs fois la
hausse moyenne de la planète , tandis que dans d'autres niveau de la mer des
régions est en baisse . Variation spatiale importante des taux de variation du
niveau de la mer est également déduit à partir d'observations hydrographiques.
La variabilité spatiale des taux d'élévation du niveau de la mer est due à des
changements non uniformes de température et de salinité et en fonction des
changements dans la circulation océanique plupart du temps.
Faits température de l'océan
fixe disponible presque partout dans le monde au cours des dernières années
permettent le calcul direct de dilatation thermique. On croit que , en moyenne,
au cours de la période 1961-2003 , l'expansion thermique a contribué pour
environ un quart de la hausse du niveau des mers observée , tandis que la fonte
des glaces des terres représentait moins de la moitié . Par conséquent,
l'ampleur de l'élévation du niveau de la mer observée pendant cette période n'a
pas été expliqué de façon satisfaisante par les ensembles de données , comme
indiqué dans le troisième rapport d'évaluation du GIEC.
Au cours des dernières
années (1993-2003) , pour laquelle le système d'observation est beaucoup mieux,
dilatation thermique et de la fonte des glaces terrestres à chaque compte pour
environ la moitié de la hausse du niveau des mers observée , bien qu'il y ait
une certaine incertitude dans l' estimations .
Accord raisonnable au cours
des dernières années entre le taux observé d'augmentation du niveau de la mer
et de la quantité de dilatation thermique et de la fonte des glaces des terres
suggère une limite supérieure de l'ampleur des changements dans le stockage de
l'eau dans le sol , ce qui est relativement inconnu. Les résultats du modèle
montrent aucune tendance nette dans le stockage de l'eau sur la terre en raison
des changements induits par le climat , mais il ya de grandes fluctuations
interannuelles et décennales . Cependant, pour la dernière période 1993-2003 ,
la petite différence entre l'élévation du niveau de la mer observée et la somme
des contributions connues pourrait être due à des processus anthropiques pas
quantifiés (par exemple , l'extraction des eaux souterraines, barrages
réservoirs , drainage des zones humides et la déforestation ) .
Il est prévu que l'
élévation du niveau des mers au cours du 21ème siècle, à une vitesse supérieure
à celle entre 1961 et 2003 . Dans le Rapport spécial du GIEC sur les scénarios
d'émissions (SRES ) A1B scénario pour la mi- 2090, par exemple , le niveau
global de la mer atteint 0,22 à 0,44 m au-dessus des niveaux de 1990 , et
l'augmentation de à environ 4 mm an-1 . Comme par le passé , les variations du
niveau de la mer à l'avenir ne seront pas géographiquement uniforme, avec les
changements régionaux du niveau de la mer varie dans l'ordre de ± 0,15 m en
moyenne une projection de modèle typique . On s'attend dilatation thermique
pour fournir plus de la moitié de la hausse moyenne , mais la glace terrestre
va perdre de la masse de plus en plus rapidement à mesure que le siècle avance
. Incertitude importante est de savoir si la décharge de glace de glace va
continuer à augmenter en raison de l'écoulement glaciaire accéléré, comme cela
a été observé au cours des dernières années. Ce serait ajouter au montant de
l'élévation du niveau de la mer , mais les projections quantitatives de combien
vous ajoutez peut pas être effectuée en toute sécurité , grâce à une
compréhension limitée des processus pertinents.
martes, 10 de septiembre de 2013
LES CONSÉQUENCES DU RÉCHAUFFEMENT CLIMATIQUE
Fonte de la banquise, disparition de certaines espèces, mais aussi épidémies ou récession économique... Les conséquences du réchauffement climatique pourraient être lourdes. Mais elles provoquent une prise de conscience individuelle et politique porteuse d'espoir.
Le réchauffement climatique provoque:
-Un climat déréglé
-Des populations entières affectées
-Une économie perturbée
-Une prise de conscience mondiale
-Une démarche globale d'adaptation
Fonte de la banquise, disparition de certaines espèces, mais aussi épidémies ou récession économique... Les conséquences du réchauffement climatique pourraient être lourdes. Mais elles provoquent une prise de conscience individuelle et politique porteuse d'espoir.
Le réchauffement climatique provoque:
-Un climat déréglé
-Des populations entières affectées
-Une économie perturbée
-Une prise de conscience mondiale
-Une démarche globale d'adaptation
LES CAUSES DU CHANGEMENT CLIMATIQUE
Indispensable à la vie sur Terre, l’effet de serre est dû à la présence naturelle de certains gaz dans l’atmosphère terrestre. Depuis le XXe siècle, il est accentué par des émissions de gaz supplémentaires. Celles-ci sont liées aux activités humaines telles que l’agriculture, l’usage de combustibles fossiles, et les rejets industriels.
Indispensable à la vie sur Terre, l’effet de serre est dû à la présence naturelle de certains gaz dans l’atmosphère terrestre. Depuis le XXe siècle, il est accentué par des émissions de gaz supplémentaires. Celles-ci sont liées aux activités humaines telles que l’agriculture, l’usage de combustibles fossiles, et les rejets industriels.
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